James Ensor, Die Intrige, 1890, Öl auf Leinwand, 90
x 150 cm, Königliches Museum für Schöne Künste,
Antwerpen © Lukas-Art in Flanders vzw, Foto Hugo Maertens
und d/arch
James Ensor, Der Schmerzensmann, Königliches Museum für
Schöne Künste, Antwerpen © Lukas-Art in Flanders
vzw, Foto Hugo Maertens und d/arch. |
Exposition
Les masques intrigués : James
Ensor
Du 16 février 2014 - 25 mai 2014
Kunstmuseum Basel, Suisse |
Nous assurons en France la promotion presse
du Kunstmuseum Basel, Suisse.
Les fantômes, crânes, squelettes et autres figures
macabres peuplent l’œuvre de James Ensor (1860–1949).
Ses travaux sont grotesques, ironiques, parfois agressifs
et provocateurs, mais toujours portés par un humour
profond. Ses motifs inhabituels rendent visibles l’absurde
et le grotesque dans le quotidien des hommes.
Les centres d’intérêt de l’artiste
étaient nombreux, il s’enthousiasmait autant
pour l’œuvre gravé de Rembrandt, que pour
le carnaval belge ou les masques japonais. Des artistes comme
Alfred Kubin, Paul Klee et les expressionnistes allemands
Emil Nolde et Ernst Ludwig Kirchner se sont inspirés
au début du XXème siècle de sa force
créatrice et de son déni radical de l’idéal
de beauté propre à l’histoire de l’art
occidental. L’exposition montre quelques 60 peintures
et autant de dessins, parfois présentés pour
la première fois. |
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